Lac de Tibériade
L’étang de Tibériade, l’océan de Galilée, l’étang de Kinneret ou mieux l’étang de Genézareth, est un étang d’eau suave d’une étendue de 160 km² délimité au nord-est d’Israël comprit entre le plateau du Golan puis la Galilée.
Délimité au-delà de 200 m du niveau de l’océan, il est traversé par l’affluent du Jourdain. Ce dernier est prolifique en poisson, il est estimé pour ces ouragans vifs grâce aux diversités climatiques ainsi qu’aux altitudes du milieu.
La protestation Syrienne sur la haute plaine de Golan qui entoure la berge orientale avait fait échouer les derniers pourparlers pour la signature d’un traité de paix entre les deux nations, sous la tutelle des Etats-Unis dans les années 2008.
Etymologie
Cet étang, est nommé « le lac de Tibériade » au sein de la Mishna, le Talmud puis la Tossefta grâce à son voisinage avec la cité de Tibériade. Il y a également « l’étang de Guinossar », portant ainsi le nom de la dépression qui la côtoie. Cette appellation est transférée dans les dialectes Européens sous le modèle Génésareth.
Dans les dialectes français puis arabe on fait usage de cette appellation « lac de Tibériade ». On emploie aussi ce nom « mer de Galilée » dans les traductions grecque puis latine des Evangiles. Il est même en anglais.
Son nom en hébreu est le suivant « Kinnereth ». On les trouve dans le livre des Nombres (parasha Massei 34,11) : « …et elle (les confins) poursuivra le rivage en rapport avec l’orient de l’océan Kinneret » puis dans le livre de Josué (13,27), en se fondant sur la province de Gad.
« …ayant pour confins le Jourdain, jusqu’au terme de l’océan Kinneret, à la lisière orientale du Jourdain. »
Une discussion sur la désignation « Kinneret » est qu’il est question d’un sous-entendu à sa silhouette, Kinnor qui signifie « lyre », ce qui devient finalement Kinneret « sous forme de lyre ». Pour Talmud, cette appellation provient du fait que ces produits sont suaves tel que la sonorité de la lyre » (Talmud de Babylone, Meguila 6a).
Histoire
La cité éponyme de Tibériade est bâtie sur la berge ouest de l’étang de Tibériade. La Tibériade est la capitale de la Galilée, elle est instaurée par Hérode Antipas pour rendre hommage au souverain romain Tibère. Elle est devenue à présent un lieu hydrominéral avec une population de 31000 personnes, célèbre pour ses ressources torrides avec un temps aride.
On distingue beaucoup de lieux paléontologiques puis authentiques aux alentours de l’étang de Tibériade, par exemple Hattin (1187) pendant que Saladin construit des cavaliers hybrides d’un effectif de 1200. Dans la profondeur de l’étang de Tibériade, au sud-ouest existe une immense formation de masse basaltique en forme de cône sans modification, découvert en 2013 par les paléographes. Aussi extraordinaire, on estimerait son poids à plus de 60000 tonnes. Mais la Sainte Bible déclare cette création comme un ouvrage de l’homme par l’expression araméenne suivante Yegar-Sahadouthâ (bloc-témoin) ; une autre présomption souhaiterait qu’il soit question d’une pouponnière à poissons.
Pendant l’hiver de 1986, ils ont repéré dans l’étang de Tibériade à proximité de ce qu’on estime comme la vielle Magdala / Tarichée, un modèle unique de bateau Romain dont (la longueur est de 8.3m, 2.6m de largeur avec un gouffre de 1.2m) pour leur activité de pêche puis le transport de denrée. Le carbone 14 permet de dater ce bateau durant le 1er siècle de notre génération, ce qui lui conservé des fois ce sobriquet de « barque de Pierre » ou « barque de Jésus ».
Les bornages des confins de la Palestine mandataire dans les années 1922-1923 suite aux traités Paulet-Newcombe en lui donnant l’autorité sur toutes les eaux de l’étang. Seulement la berge nord-est est donnée à la Syrie. Pendant la division du territoire Palestinienne dans les années 1947, les terres mandataires qu’on rencontrait dans cette région étaient totalement mises sous les commandements d’Israël. Au cours de leurs séjours dans la dépression du Golan dans les années 1967, la berge de l’Orient était totalement sous le commandement de l’Israël puis ligué par le gouvernement hébreu dans les années 1981. Cette union est rejetée par l’unité internationale, elle souhaite la rétrocession à la Syrie ce qui fait partir intégrante des préoccupations de l’unité internationale. Toutes ces démarches contribuent au maintien de la paix entre ces deux nations. L’Israël aussi se demande des limites de 1923, tandis que la Syrie désire avoir des nouvelles de ses orientations du 4 juin 1967, ainsi qu’une portion de la côte orientale de l’étang sur sa terre.
Hydrographie
L’étang de Tibériade perçoit de l’eau spécialement de l’affluent du Jourdain qui se repend au nord puis se dégage par le sud.
A présent, il demeure la principale source hydraulique de l’Israël. D’énormes activités sont effectuées pour accompagner la distribution d’eau suave à la population puis pour arroser leurs champs, particulièrement ceux du désert du Néguev. Extension du dessalage de l’eau de l’océan en Israël qui réduit progressivement les succions au sein des eaux de l’étang de Tibériade qui malgré ces succions il touche son plus bas niveau à l’automne en 2017 suite à la saison sèche de l’hiver antérieur. A l’automne, la conjoncture s’empire en 2018.
Caractéristiques
- superficie : 166 km²
- longueur : 21 km
- largeur : 13 km
- Périmètre : 53 km
- Profondeur moyenne : 25,6 m
- Temps de renouvellement : 5 ans
- Débit annuel : 700.000.000 m3 puis 500.000.000 m3 en sortie.
Importance culturelle et religieuse
Christianisme
L’étang possède une valeur inestimable aux yeux des chrétiens. Ce sont ces côtes telles que les monticules plantées ainsi que les petits plateaux productifs logeaient beaucoup de localités de matelots puis de paysans de même qu’un grand nombre d’événements de la vie de Jésus-Christ, citer dans la Sainte Bible « Evangiles », se sont accomplirent La tempête apaisée (Lc 8,12-25), la pêche miraculeuse (Lc 5,4-6), la révélation définitive aux apôtres pendant qu’il ressuscita (Jn 21,1s). L’étang est un milieu saint qui abrite les cultes chrétien :
- Bethsaïde, vieille ville, sur la berge nord de l’étang, à proximité de Capharnaüm ;
- Capharnaüm, vieille ville, sur la berge nord de l’étang, de l’hébreu kfar (localité) puis Nahum (miséricorde, réconfort). Cité où Jésus-Christ a évangélisé puis où il a délivré les prisonniers du centurion. Restes d’un temple octogonal puis de la synagogue géante du III ou IV siècle.
- Résidence de St Pierre ;
- Chorozaïn ;
- Coupole du Mont Thabor, site de la transfiguration du Jésus-Christ ;
- Collines des Béatitudes, monticule située au nord de Tabgha, lieu du sermon sur le massif où Jésus-Christ annonça : « Heureux les artisans de paix car ils seront appelés fils de Dieu ». Eglise des Béatitudes ;
- Tabgha, sur la côte ouest, le site du miracle de la multiplication des pains et des poissons par Jésus-Christ. Chapelle de la multiplication des pains, chapelle de la Primauté,
- Koursi, le site du miracle de la guérison par Jésus-Christ d’une ou deux personnes sous l’emprise des esprits mauvais,
- Yardenit, au sud de l’étang, où les eaux restaurent le Jourdain. A présent, des pèlerins y viennent pour recevoir le baptême en supposant que c’est l’un des sites où Jean le Baptiste baptisait. Ce qui est contraire à l’opinion des archéologues.
Judaïsme
L’étang est un site consacré aux cultes des Juifs. Les fidèles juifs se rendent là pour adorer leur Dieu sur :
- La tombe de Rabbi Akiva, sur la montagne couvrant l’étang de Tibériade ;
- La tombe de son apôtre, Rabbi Meïr Baal Hanes, au seuil de la cité à proximité des puits torrides de Tibériade de qui subsistent les ruines de la synagogue de Hammath,
- La vieille catacombe de Tibériade qui abritent les tombeaux d’un nombre de rabbins ;
- La tombe de Moïse Maïmonide, philosophe, physicien, savant du XIIe siècle responsable d’un code de loi, Mishné Torah.
L’étang laisse son nom au Kibboutz Kvoutzat Kinneret qui se trouve à côté. Au sein de la catacombe de Kinneret, qui couvre l’étang, abrite beaucoup inventeurs d’idées socialistes puis leaders sionistes de la seconde puis de la troisième Aliyah. C’est au sein de cette même catacombe qu’on a inhumés les artistes Rachel Bluwstein, communément appelé Rachel hameshoreret (la poétesse Rachel), puis Naomi Shemer, responsable compositeur israélien. La majorité des artistes israéliens ont chantés en l’honneur de cet étang de Tibériade.
Islam
Pour un hadîth, son sèchement une attitude capital de l’apogée de temps car il conclure le développement de mauvais-messie, le dajjal.