Arad est une ville du district sud d’Israël. Elle se retrouve à la frontière des déserts du Néguev et de la Judée, elle se trouve à 25 kilomètres de la mer Morte et à 45 kilomètres à l’Est de Beersheba. La ville est constituée de différentes sortes de population dont le nombre est évalué à près de 25530 y compris des juifs ashkénazes et séfarades, laïcs et religieux, des bédouins et Black Hebrews et également les nouveaux immigrants.
Ses coordonnées sont : 31°15’21 44’’ N 12’47.36’’ E. Située en Israël, elle a pour District le District du sud qui a été fondé en 4000 AEC (Tel Arad), 1100 AEC (ville Israélienne).
Gouvernement
C’est une ville fondée depuis 1955, elle est gérée par le maire Nissan Ben Hemo
Surface
Elle recouvre une superficie totale de 93140 dunams (93,14 km2)
Population
En 2017, le nombre total d’habitants est de 25530 avec une densité de 270 / Km2 (710/sq mi). La ville est nommée d’après Tel Arad.
Après avoir essayé de s’introduire dans la région au cours des années 1920, Arad a été créée en novembre 1962 comme étant une ville de développement israélienne, première ville avancée d’Israël. La population d’Arad a énormément augmentée avec l’Aliyah de l’ex-Union soviétique et s’est ajouté en 2002 avec 24500 résidents. Les points de repère à Arad ont provoqué les ruines de Tel Arad, Arad Park un aérodrome domestique est le premier circuit de course légal d’Israël. On reconnait la ville grâce au festival annuel de musique estivale, le festival Arad.
Arad est venu du nom de la ville cananéenne de l’âge De bronze biblique se trouvant à Tel Arad (site archéologique biblique célèbre pour la découverte de l’ostraca) se trouvant à 8 km à l’ouest de la ville moderne d’Arad. La bible (Juges 1 : 16) la décrit comme une forteresse cananéenne dont le roi empêchait les Israélites de se déplacer du Néguev aux montagnes de Judée, bien que Tel Arad ait été détruite plus de 1200 ans avant l’arrivée des Israélites. Toute fois Shoshenq les chroniques semblent mentionner un règlement à Tel Arad. Après avoir dévasté la ville à l’époque cananéenne, la ville a été laissée pendant des siècles avant sa nouvelle installation par les Israélites dès le 11 siècle avant notre ère. Les Israélites l’ont d’abord colonisé comme une partie de la terre sans mur coupé, puisqu’un domaine officiel ou sacré a été fondé sur la colline supérieure. Devenu après une ville de garnison encore appelée « « la citadelle » ». La citadelle et les sanctuaires ont été construits au temps des rois David et Salomon. Les artefacts vus dans le sanctuaire de la citadelle symbolisent pour certains des offrandes d’huiles, de vin, de blé etc… amenées par plusieurs personnes à l’époque du royaume de Juda, jusqu’à la chute de Juda aux babyloniens. Sous les rois de Judée, la citadelle a été tout le temps réaménagée et rebâtie. Enfin elle a été détruite entre 597 et 577 avant la nouvelle ère, dans le même temps Jérusalem était assiégé par le roi babylonien Nebucadnetsar II.
Cependant au cours des ères perse, maccabée, romaine et musulmane, les habitants ont toujours poursuivi le transport des objets dans l’enceinte sacrée de la colline supérieure. Les marqueurs de ces anciens rituels israélites restent avec des poteries cassées se retrouvant sur tout le site.
Au temps byzantine l’endroit était toujours identifié par Eusebius et le nom Arad était réservé par les bédouins. L’ancien Arad est devenu un évêché chrétien. Stephanus, l’un des évèque fut signataire de la lettre synodale de Jean III de Jérusalem contre Sévère d’Antioche en 518 et participa au 536 synode des trois provinces romaines de Palestina Prima, Palestina Secunda et Palestina Salutaris contre Anthime I de Constantinople. Ce n’est plus un évêché résidentiel, Arad est actuellement classé par l’église catholique comme titulaire.
Le premier essaie moderne d’installation a été réalisé par le Yishuv, le corps des résidents juifs de la Palestine mandataire, le 23 février 1921, quand le gouvernement sous mandat britannique a permis aux soldats démobilisés de la région juive à venir habiter dans la zone.
Le 15 novembre 1960, le cabinet israélien a choisi une équipe de planification, suivie d’un comité à part entière le 29 décembre, qui doit examiner la possibilité de créer une ville dans le désert du nord-est du Néguev et dans la région d’Arad. Un budget actuel de 50000 livres israélienne a été octroyé pour le projet dirigé par Aryeh ElIav. Le 31 janvier 1961, le lieu définitif a été choisi (à 3,5 km au sud -ouest du mont kidod) et des plans ont été accordés pour les liaisons routières et hydrauliques. En mars 1961, des plans pour une ville de 10000 à 20000 habitants ont été établis. Yona Pitelson était l’architecte en chef et le planificateur. Le plan était utile à cause de la topographie et du climat avec des bâtiments résidentiels construits avec de grandes cours intérieures offrant une barrière contre le vent et le soleil du désert. Les zones résidentielles à haute densité ont été rebâtit pour créer un milieu urbain et réduire les distances de marche.
La compagnie pétrolière Nefta a bâtit un camp de travail dans la région en juillet 1961, constitué de six hangars temporaires, après avoir trouvé le pétrole en quantité commerciale. La ville a été également fondée en 1962 par un groupe de jeunes membres de l’ex-Kibboutz et de l’ex -mochav, à la recherche d’un environnement surpeuplé par la circulation, le bruit et la pollution. La cérémonie de fondation s’est produite le 21 novembre en présence de David Ben Gourion qui était le premier ministre. Elle fait partie des dernières villes de développement qui a été créée. Pour le site internet de la ville, Arad était la première ville planifiée en Israël.
Arad abritait 160 familles jusqu’en 1964, dont plusieurs sont natives. A la suite des années 1971 Arad à commencer par accueillir des olim (immigrants juifs) en effet originaire de l’union soviétique et également des pays anglophones et d’Amérique latine, elle compte une population de 4000 habitants en 1969, 500 en 1974 et 12400 en 1983.
Dans les années 1990 Arad a accueilli 6000 immigrants de l’ex -Union soviétique. En 1995 la ville est constituée de 20900 habitants. La ville a été déclaré par le premier ministre Yitzhak Rabin le 29 juin 1995.
L'exploration de la ville d'Arad
Géographie
Arad se trouve à l’ouest et dans le sud-ouest de la chaine de Kidod, également dans la plaine d’Arad qui définit l’extrémité du sud-ouest du désert de Judée. Il se trouve à 23 km à l’ouest de l’extrémité sud de la mer morte et se situe à 45 km à l’est de Beersheva, à 45 km à l’est de Beersheva, à 138 km au sud-est de Tel-Aviv et à 219 km au nord de la ville. La surface totale de la ville est de 93140 dunams (93,1 km2), une des plus grandes zones municipales d’Israël, même si la zone urbaine n’est pas grande. En1993, la juridiction de la ville tournait autour de 73934,3 dounams (73,9 km2), ce qui représentait à plusieurs reprise la superficie de la zone urbaine. Le site historique de Tel Arad et le parc d’Arad (encore appelé Ran Grove) se situent aussi dans la zone municipale, à l’ouest du noyau urbain. Arad dispose aussi d’une piste d’atterrissage commerciale se trouvant légèrement au sud de son noyau urbain. Il est bordé par les conseils régionaux de Tamar et d’Abou Basma, et la municipalité la plus proche d’Arad est le conseil local bédouin de Kuseife.
Quartiers
Chaque quartier d’Arad dispose des rues appelées de façon thématique comme par exemple, un quartier où toutes les rues portent le nom de joyau. Les quatre quartiers principaux qui ont des noms de rues, et les deux quartiers d’origine (Rishonim et Ne’ urim sont exclus. Les quartiers à thème représentent toute la ville au nord de l’autoroute 31). Au sud de l’autoroute se situe la zone industrielle d’Arad (la zone nord étant la zone d’industrie légère). Les quartiers sont les suivants :
Prénoms |
Sens |
Thème |
Avishur |
Abishur |
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Tlalim |
Rosée (pluriel) |
|
Leva’ot |
Lionnes |
|
Ye’elim |
Bouquetins |
|
Gevim |
Citernes |
Corps fluviaux |
Halamish |
Silex |
Fruits |
Yehoshafat (en construction) |
Josaphat |
Rois d’Israel et de Judée |
Rishonim |
Pionniers |
|
Ne’urim |
Jeunesse |
|
Renanim (en construction) |
Joies |
La musique |
Ayanot |
Ressorts |
Ressorts |
Ma’of |
Vol |
Des oiseaux |
Hatzavim |
Ecailles |
Millitaire |
Harduf |
Oleander |
Hauteur figuratif |
Secoué |
Amande |
Les plantes |
Rotem |
Balai |
Des bijoux |
Géographie et Topographie
La partie occidentale d’Arad est composée de terres de Loess, alors que la partie Orientale est composée de roches sédimentaires contenant de la craie, du silex, et de la dolomite. L’altitude d’Arad se trouve entre 361,5 et 631,1 mètres (1186 et 2071 pieds) au sommet du niveau de la mer, Le mont le plus élevé est le mont Kidod (600 m ou 2000 pieds) qui se trouve au point nord-est de la ville et du om Ras al Kadadeh, nom arabe de la colline. Le monts Kina (635 m ou 2083 pieds) et le mont Brir (537 m ou 1762) se trouvent aussi au sein des frontières municipales. Plusieurs oueds passent par Arad, également le ruisseau Ye’elim qui s’étend sur l’autoroute 31 et le Tze’elim. D’autres composantes comme Hesed, Keisan, Kidod, Kina, Malhata, Pra’im, Tavya et certains cours d’eau.
Climat
Entre 1964 et 1974, la température moyenne d’Arad en janvier était de 11°C (27°F) et de 27 ° C (81° F) en juillet. Les précipitations annuelles moyennes entre 1960 et 1990 tournaient autour 150 millimètres (5,9 pouces) et 158 millimètres (6,2 pouces) au milieu des années 1962 et 1978. Arad se trouve donc dans une région aride ou certaines précipitations tombent en hiver, mois de décembre, janvier et février. A ces moments-là on trouve de la neige. On peut citer comme exemple la tempête de neige massive de l’hivers 1991 -1992 qui a envahit toute la zone montagneuse du Néguev et la tempête de neige de janvier 2008.
Données démographiques
Pour le Bureau central des statistiques d’Israël, sur une population de 24400 habitants en 2015 80,3% étaient Juifs et 16,8 % ne sont pas Arabes. On pouvait compter 11900 hommes et 12500 femmes. Le pourcentage des immigrants étaient de 33,8% depuis 1990. La population d’Arad a augmenté jusqu’à 24500 personnes en 2002.La ville des bases d’apprentissage de Tsahal, est en chantier dans la zone de Beersheba, dans le but d’emmener des milliers de soldats (notamment des officiers, des sous-officiers supérieurs et certains membres du personnelle.) Dans le Néguev, ainsi à Arad. Pour Orli Yehezkel PDG du ministère de développement du Néguev et de la Galilée, 4 ,5 millions de NIS seront utiliser à Arad, de même qu’une aide de 1000 NIS par famille et par mois durant deux ans pour les familles des soldats voulant habiter Arad. Le ministère du développement du Néguev et de la Galilée a également prévu de tripler le nombre d’habitants de la ville dès 2025
En dehors des sites touristiques, le commerce d’Arad est seulement réalisé dans la zone centrale, comme prévu dans le plan actuel. On retrouve un centre commercial dans la ville, le centre commerciale Arad, dans le site nord du domaine du commerce. En dehors de la zone principale on dénombre une a association de plusieurs magasins dans certains quartiers de la ville, d’un même qu’un bâtiment appelé The Star (Hakokhav) dans le quartier Tlalim. Le seul supermarché qui se trouve hors de la ville appelé Mega in the City, se trouve dans la zone industrielle proche de l’entrée de la ville et un géant complexe a été envisagé par une société immobilière nommée Zim Centers. Le marché d’Arad ouvre ses portes le lundi, il se trouve dans la zone d’industrie légère.
Parmi les entreprises installées à Arad, on peut citer : Arad Textiles Industries qui est spécialisé dans la fabrication des serviettes en Israël, Flextronics Israël, AMS électronics qui produisent des cartes de circuits imprimés et de produits électroniques, El-Ra Timbber Industries, Jordael est spécialisé dans la production des produits cosmétiques et Unilever. Céréale Shefa Israël. En 1971, Arad fabrique de l’acide phosphorique à partir de saumure extrait de la mer Morte et de phosphates da la zone voisine de Tzefa. Rotem Amfert Néguev Ltd, un groupe d’Israël Chemicals Ltd (ICL), a prévu bâtir une nouvelle usine de phosphate dans la zone de Sdeh Brir il y a plusieurs années. En 2008, le ministère de l’environnement a pris l’engagement de ne pas aller contre l’offre de la société, malgré que les études aient prouvé que cela pourrait engendré une augmentation de décès en rapport à la pollution de l’air dans la zone.
Mise a part le festival de musique réalisé chaque année, l’air frais provoque des asthmatiques du monde entier et du faite qu’il soit proche de la mer morte donne un intermédiaire pas trop couteux dans la zone hôtelière du bord de la mer. La municipalité d’Arad a provoqué le développement de la randonnée et du tourisme écologique. En outre, plusieurs visiteurs de Massada sont venus à Arad, qui est l’endroit de peuplement urbain le plus rapide (22 km par route) du site et demeure le seul moyen nécessaire à son côté ouest. Au alentour d’Arad, proche de la zone hôtelière, il y a un vaste monument fabriqué par Yigal Tumarkin en 1968, nommé Mitzpe Mo’ av (Mo’ av Lookout) qui donne une image sur le désert de Judée.
Le sentier national d’Israël passe par Arad, se trouvant parmi les monts Kina et Tel Arad, Site archéologique majeur et parc national. Malgré qu’il ne se trouve pas dans la juridiction d’Arad, le pic Zohar (552 m) et le belvédère Zohar (Mitzpe Zohar) sont des arrivés de randonnée et de cyclisme courantes sur le sentier national. Les sentiers dont les noms de code sont 11335 et 11240 suivent le sentier national dans cette région.
Le centre culturel de base d’Arad est spécialisé dans le domaine de la culture, la jeunesse et les sports. (Hébreu / Matnass) appelé d’après Samuel Rubin et se trouve sur la rue Ben Yair proche du centre commercial Arad. Il a été bâtit en 1983 et dispose du musée d’Arad, la bibliothèque publique d’Arad, une salle de concert et du centre d’accueil des visiteurs d’Arad, créée en 1989.
Le cinéma Oron réalisé par l’architecte Menachem Cohen n’a plus ouvert ses portes sous la présidence du maire Moty Brill. Eshet Lot, est un quartier qui se trouve dans un endroit industriel de la ville et se sert d’anciens entrepôts. La ville dispose également d’un conservatoire et d’une salle de concert.
En 2007, le ministre du Développement a donné son avis pour changer de place aux archives national d’Israël de Jérusalem à Arad et de créer un musée.
On reconnait Arad pour son festival de musique organisé chaque année, ce festival a été réalisé pour la toute première fois en 1982. C’était un événement apprécié de tout le monde et un aimant particulier pour les artistes jusqu’à la fin des années 1995. Le 18 juillet 1985, trois adolescents sont morts à cause d’une porte qui est tombée pendant le concert d’adieu du groupe Mashina. Suite à plusieurs tentatives des organisateurs du festival pour le garder, celui-ci n’a pas été fait. Cinq personnes parmi les organisateurs ont été condamnés à un an de prison.
Le parc publique central et l’aire de pique-nique est Arad Park, encore connu sous le nom de Ran Grove (d’après Ran Shochat, assassiné pendant la guerre Kippour), qui se trouve à 8 km du centre-ville et dont sa dimension tourne autour de 3000 dunams (3,0 km2). Les autres parcs notables sont constitués de :
-Gan HaPsalim (aka Park HaNsharim), le parc qui se trouve au début de la ville)
- Gan Halamisha (jardin des cinq), un parc qui a été construit en mémoire des cinq habitants d’Arad qui ont été assassinés au combat pendant la guerre qui a duré six jours. Il dispose d’un monument pour les soldats et également d’un dispositif en pierre nommé Amud HaBulbusim (allumée. Base des pommes de terre à cause de sa structuration), qui laisse une trace pour Arad dans le désert et la surveillance du territoire par les habitants pour la tradition bédouine réalisée par Yona Pitelson.
- Northen Park, se situe dans le nord du quartier de Halamish.
- Gan Harpaktka’ot (Adventure Park), est un grand terrain qui dispose d’une pelouse dans le quartier Rishonim.
Le groupe principal d’installation de loisirs se trouve dans le quartier d’Ayanot, encore appelé Kiryat Hasport. Les installations sont constituées d’une piscine, des courts de tennis, un country club et des terrains de jeu. Le stade central de football de la ville se trouve à l’angle des rues de Yehuda et Palmach. Le stade dispose de Hapoel Arad qui participe au jeu dans la Liga Bet, c’est le quatrième stade du football israélien.
Dès les années 2000, Arad lance un tournoi de vélo chaque année, Riding Arad, en souvenir d’Itamar Ilya, un soldat qui a été assassiné lors d’un combat au Liban en 1997. En mars 2008, le tournoi a été incorporé à une compétition internationale de l’union cycliste. La distance professionnelle d’Arad est de 37km alors que celui d’expert s’étend sur 22,5 km.
Arad ne dispose pas d’un hôpital mais plutôt de plusieurs cliniques médicales, on peut citer : Clalit, Leumit et Maccabi. Les services d’urgence sont pris en charge par la seule station Magen David Adom, qui est située au sein de la municipalité.
Un centre médical a été bâtit dans la municipalité autour des années 2004, appelé Shaller Médical Center en présence de Leon et de Freeda Shaller , qui sont les différents donateurs. Il est utilisé pour des services d’urgence mais il ne détient pas le matériel adéquat pour travailler. Dès lors les malades sont admis au centre médical Soroka. Environ 10% des patients sont envoyés dans cet hôpital.
Arad ne fait pas partie du poste de police israélien local, qui se trouve à coté du complexe municipal et du poste Magen David Adom. Il est dirigé par le surintendant Yuval Paz et constitué de 58 membres. La station d’Arad désert aussi la région de Sodome.
La force de police d’Arad a été élue comme force exceptionnelle au cours de l’année 2007 et a obtenue le prix d’excellence le 5 mars 2008. Elle a également permis une réduction particulière des primes contre la propriété. Les forces d’Arad ont été obligées de diminuer le nombre de ces crimes de 1092 en 2003 et 168 en 2007. Le 18 juillet 2008, la police d’Arad a involontairement tué un homme qui a menacé d’assassiner son ex journaliste avec un couteau.
Arad dispose d’une école primaire publique dans tous les quartiers centraux (Halamish, Tlalim, Avishur, Leva’ot et Ye’elim encore connu sous le nom de (ye’elim Ofarim), alors que Tlalim est une école religieuse. Il y a également un collège public, Reout, qui se trouve à côté du lieu o se rencontrent les rues Yoshiyahu et Hakana’im. Le second collège n’a plus ouvert ses portes en 2007 et a été assemblé pour être ORT Arad, le seul collège public de la ville, qui utilise le même bâtiment avec le collège Re’ut et une autre école de longue date appelée Yigal Allon. Pendant l’année scolaire 2006-2007, 57,14% des élèves de 12 -ème année étaient admissibles à un Bagrut (diplôme), avec une moyenne nationale de 45,9%.
Au cours des années 2007-2008, le nombre a baissé de 49,67% par rapport a la moyenne sur le plan national de 46,3%.
En effet, il existe différents types d’écoles privées et Haredi à Arad, comme les écoles de la première à la huitième année du mouvement Shuvu et de la première à la huitième année du mouvement Shuvu et l’école Gerrer Haredi. Certaine écoles haredi y compris Beit Ya’akov pour garçons et Kol Ya’akov pour les filles dans le quartier de Halamish, la Lev Simcha Yeshiva et le lycée Beit Ya’akov. Les écoles religieuses sionistes sont composées de Neot Avraham Bnei Akiva Ulpana qui donne aussi aux jeunes femmes les conseils pour faire des activités de volontariat dans la zone et l’école élémentaire Tlalim créée en 1971.
Aussi à Arad, il y a une école démocratique Kedem, qui est une école remplaçante pour les étudiants jusqu’au lycée. Il donne accès aux étudiantes de produire leurs propres horaires et de choisir la façon dont ils veulent faire tout une journée à l’école.
Le village d’enfant SOS d’Arad (appelé encore Kfar Neradin) a été bâtit dans la banlieue Sud d’Arad et inauguré le 27 octobre 1981. Il est constitué de 12 maisons familiales pouvant prendre jusqu’à 120 enfants. Il y a aussi un foyer de jeunes SOS pouvant contenir 12 à 14 jeunes du village d’enfants SOS. En 2005, un centre social a été créée à Arad. Il s’occupe d’une garderie et divers programmes d’aide communautaire pour un apport aux familles socialement faibles. A partir de l’automne en 2008, l’union mondiale des étudiants juifs (WUJS), créée par des juifs du New Jersey, était en possession d’un institut à Arad qui favorise les jeunes juifs du monde entier post-universitaires à faire des recherches sur la société israélienne et la langue hébraïque. Lorsque la propriété de WUJS a été transformé, l’institut a été transporté au centre du pays.
Arad dispose de 22 synagogues, dont 11 ashkénazes, 09 séfarades, une yéménite et une éthiopienne. Les synagogues centrale ashkénaze et séfarade se trouvent dans le quartier de Ye’elim. Shira Hadasha est une synagogue de Masorti dans le quartier de Rishonim. On retrouve des synagogues Gerrer à Avishur et Halamish et une synagogue Chabad à Ye’elm. On retrouve 02 mikveh au sein de la ville, dans les quartiers de Tlalim et d’Ayanot. La ville dispose également d’une communauté messianique qui n’est pas grande, elle participe aux activités missionnaires illégales par les Haredim et d’autres groupes de droite. Les morts d’Arad sont souvent enterrés dans le cimetière local, se trouvant dans la banlieue nord-est de la ville et proche de la route allant à Massada.
Média
Le journal local d’Arad, Kidod, a été publié par les entrepreneurs Eli et Rochale Ziv, les premiers créateurs d’Arad. Kidod a débuté en tant qu’un petit dépliant en décembre 1966, il est alors resté un document complet. A sa fin, il est partagé en 3000 exemplaires sans contrepartie toutes les semaines dans les épiceries, des kiosques, etc. Kidod s’est rapidement développé pendant 23 ans, il a participé à un élément important dans la vie culturelle et communautaire d’Arad. HaTzvi Arad est le journal local actuel.
Drapeau municipal et emblème
L’emblème d’Arad est un endroit doté d’une colline et d’une flamme. La colline constitue le mont Kidod, une colline qui se trouve au nord -est de la ville, et la flamme symbolise le gaz naturel, tiré dans la région au départ, ce qui a provoqué l’évolution de la ville. L’emblème a été instauré le 19 mai 1966. Le drapeau d’Arad est en forme de rectangle avec un rapport de 2 sur 3, avec un intérieur de couleur bleu clair où figure l’emblème au milieu avec le texte hébreu pour la municipalité d’Arad en haut et le texte anglais City ARAD Israël en bas. C’est le drapeau de facto, il n’y a aucune règle pour qu’il devienne officiel.
Transport
Le chemin menant à Arad est la route 31, qui est associé à Beersheba à l’ouest et à la mer Morte à l’est. Il existe deux jonctions dans la zone municipale d’Arad : la jonction Arad (dans la ville également, avec la route 3199) et la jonction Tel Arad (avec l’autoroute 80). La route locale 3199 associe Arad à Massada, par contre elle n’utilise pas la route adjacente à la mer Morte (autoroute 90). En d’autres termes c’est la seule façon d’aller du côté ouest de Massada.
L’aérodrome d’Arad, a servi pour la première fois pendant le festival de musique de 1994, et se trouve au sud de la ville et fournit des vols intérieurs par rapport à la demande. En mai 2017, une ligne de chemin de fer créée récemment associant Arad à Kuseife a été accordé. Cette ligne sera associée à la ligne de chemin de fer Beersheba – Dimona qu’on retrouve à Nevatim. Sa finalité sera adjacente à la gare routière principale.
La gare routière principale d’Arad, se trouve auparavant à l’angle des rues Yerushalayim et Yehuda, a été barrée parce qu’il y a eu une bataille judiciaire entre la municipalité et la coopérative de bus Egged. Une station a été récemment bâtit avec sept plates-formes et un parc relais.
Les bus à Arad sont utilisés par la coopérative Egged Bus et Metropoline. Plusieurs lignes de bus interurbaines sont utilisées par la gare principale, deux liaisons Haredi interurbaines quittant le nord, également cinq routes intérieures (1,2,3,11,12). Les itinéraires interurbains sont :
Ligne | Route | Entreprise |
384 | Beersheba CBS – Ein Gedi | Egged |
385 | Beersheeba CBS – Ein Bokek | Egged |
386 | Arad (centre) Beersheba CBS | Métropoline |
388 | Arad (centre) Beersheba CBS | Métropoline |
389 | Arad (centre) Tel Aviv CBS | Egged |
543 | Arad (centre) Komemiyut | Egged |
550 | Arad (nord) Bnei Brak | Egged |
552 | Arad (nord) Ashdod | Egged |
555 | Arad (nord) Jérusalem CBS | Egged |
558 | Arad (centre) -Bnei | Egged |
559 | Arad (centre) – Beit | Métropoline |
560 | Arad (centre) | Egged |
Gouvernement local
Dès sa fondation en 1962, Arad est conseillé par le conseil régional et le conseil local, avant d’être choisi comme étant le conseil municipal en 1995. Des élections démocratiques ont été réalisé à Arad depuis 1966, malgré que Avraham Shochat, Betzalel Tabib et Moty Brill ont été élu à la tête de la municipalité. Le premier maire de la ville d’Arad s’appelait Betzalel Tabbib, qui était à la tête du conseil municipal. Il a été changé par Mordechai Brill en 2003, également à cause de son incapacité à prendre en charge un budget chaque année, Brill a été renvoyé par le ministre de l’Intérieur, Meir Sheetrit en août 2007, et un fonctionnaire installé par le gouvernement, Gideon Bar – Lev, a pris sa position. Une récente élection a eu lieu le 13 avril 2010, gagnée par Tali Ploskov du parti Yisrael Beiteinu. Le chef qui a duré dans la municipalité d’Arad était Avraham Shochat qui suivait le conseil municipal 1967 à 1986.
Le budget d’Arad tourne chaque année à plus de 100 millions de NIS et à plus de 30 millions de dollars US. Le 27 décembre 2007, le conseil municipal a adopté à l’unanimité le budget 2008 à plus de 123 millions de NIS. Le revenu de la ville en général chaque année s’élèvent à 119 millions NIS environ.
Prénom | Terme | Position | Fête |
Aryeh Lyova Eliay | 1960-1962 juin | Chef du connseil régional d’Arad | Mapaj |
Yitzhak Pundak | Juin 1962-1965 | Chef du conseil régional d’Arad | |
Zeev Haimoni | 1966-1967 | Chef de conseil local | Mapam |
Avraham Shochat | 1967-1986 | Chef de conseil local | La main d’œuvre |
Betzalel Tabib | 1986-29 juin 1995 | Chef de conseil local | La main d’œuvre |
Betzalel Tabib | 29 juin 1995-octobre 2003 | Maire | La main d’œuvre |
Mordechai Moty Brill | Octobre AOUT 2003-2007 | Maire | |
Tali Ploskov | Avril 2010 -2015 | Maire | Yisrael Beiteinu |
Nisan Ben Hamu | 2015 | Maire | Yesh Atid |
Gideon Bar Lev | Octobre 2007-2010 | Maire |
Malgré que les villes israéliennes n’aient aucune coutume pour s’approprier des lois majeures, uniques ou auxiliaires, plusieurs villes ont des lois mineures. A Arad, il est interdit de donner à manger aux animaux dans les endroits publics. Il est aussi interdit de vendre ou de manger des graines de tournesol, des arachides, etc. dans les endroits publics, à cause d’une loi anti-détritus adopté en 1965. On compte au total 27 lois auxiliaires à Arad, qui ont été adopté entre 1965 et 2000.