Après la signature de la vente historique d’une partie du Beitar Jérusalem au Cheikh ben Khalifa, Oren Hasson, le président du club a salué cette décision. Les supporteurs désapprouvent.
Le Beitar Jérusalem est au début d’une nouvelle ère après l’annonce de la vente d’environ 50% du club au cheikh Hamad bin Khalifa al-Nahian des Emirats Arabes Unis. Suite à la vente, l’organisation des supporters du Beitar Jérusalem s’est opposée à cette décision. Après la signature de l’accord, le président du club, Oren Hasson, a salué la décison et indiqué : « félicitations au Beitar Jérusalem, au propriétaire Moshe Hogg, au président Eli Ohana et à tous ceux qui l’ont fait pour le nouveau partenariat. Un pont merveilleux pour connecter les gens et en son pouvoir de promouvoir la coexistence. »
Une journée historique pour le Beitar Jérusalem
« Comme tout accord, il y aura ceux pourront essayer de le saboter, mais la grande majorité des amateurs de foot devront être du côté des gagnants. Je suis convaincu que ce n’est pas la dernière bonne nouvelle du partenariat en expansion entre nous », a conclu Hasson. En 2013, Le Beitar a connu un problème similaire lorsque deux joueurs musulmans ont signé dans ses rangs, ce qui a provoqué un tremblement de terre dans le club.
Un club qui pourra briller grâce à des investissements
L’entraîneur de l’équipe était Eli Cohen, celui-ci s’est exprimé au sujet de l’accord signé aujourd’hui : « J’ai connu un enfer avec le Beitar Jérusalem en 2013. » Le club bénéficiera de 100 millions d’euros, de quelle façon la rue va réagir ? L’accord permettra au Beitar Jérusalem, qui n’a pas été compétitif ces dernières années, de revenir au centre de la scène ». La ministre des Transports, Miri Regev, s’est félicitée : « Ici aussi, nous avons rompu le paradigme. » L’ancien joueur Yaakov Hillel a également réagi à l’accord : « je suis heureux qu’il y ait un investissement très sérieux au Beitar Jérusalem. C’est une ouverture pour la coopération et la paix et tous les éléments qui font le bien et le football relie les gens. Je suis heureux que grâce au budget, il développera une équipe forte. Le Beitar Jérusalem deviendra l’un des plus grands clubs aux côtés du Maccabi Tel Aviv et du Maccabi Haifa. »