
Les crimes du Hamas, mouvement totalitaire et génocidaire, ne sont pas dignes d’être mentionnés dans ce qui est devenu un torchon : ils n’entrent pas dans la grille de lecture idéologiques d’un Benjamin Barthe dont l’épouse est payée par le Qatar, parrain des Frères musulmans.
Le militant anti-Hamas Ziad Abu Hayya vient d’être assassiné à Gaza, ultime victime d’une répression sanglante qui dure depuis 17 ans. L’Immonde: complice depuis 17 ans par ses silences, sa scotomisation.
Son crime: avoir supplié via une video « Sauvez-nous du Hamas »
Des hommes armés l’ont arraché nu de sa tente à Khan Yunis, roué de coups puis exécuté. Son crime ? Avoir supplié en août dans une vidéo : « Sauvez-nous du Hamas ».
Déjà torturé en septembre pour avoir parlé aux médias arabes, Abu Hayya savait ses jours comptés. Le Hamas lui avait clairement signifié : se taire ou mourir. Il a choisi de parler. L’Immonde a choisi le silence.
Cette exécution s’ajoute à un bilan glaçant : 800 opposants sommairement tués lors de la prise de pouvoir en 2007, environ 1 000 emprisonnements politiques chaque année, des dizaines de milliers d’arrestations arbitraires. Le Hamas a instauré un système de terreur implacable : police des mœurs, torture systématique, censure totale, traque des voix dissidentes.
Même en pleine guerre, le mouvement islamiste n’a pas relâché son étau sur Gaza. Militants des droits humains, journalistes, membres du Fatah ou simples critiques sur les réseaux sociaux : personne n’échappe à la machine répressive. Le Fatah accuse également le Hamas de piller les banques et les biens publics.
Abu Hayya avait lancé un appel au monde. Il en a payé le prix de sa vie. Être complice de ces idéologies, c’est être coupable. L’Immonde : coupable !
© Joel Hanhart

Joel Hanhart is Ophthalmologist @ Shaare Zedek | Head of the Medical Retina Unit. Jerusalem
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