Il est des régions, des idéologies religieuses ou politiques, des mentalités culturelles, pour lesquelles la guerre et la mort sont les valeurs suprêmes, bien plus que la Vie. Pour qui toute paix est une honte, seule compte la victoire obtenue par les armes, seul compte l’anéantissement physique et culturel de l’autre. La paix, pour eux, ne signifie rien d’autre qu’un intervalle entre deux guerres qui permet de reconstituer ses forces avant la prochaine bataille.
Prenons le monde Arabo Musulman. Regardez et observez. Ceux qui prônent la paix et la négociation sont-ils adulés par les foules ? Tous les dirigeants Arabes qui ont voulu faire la paix avec leurs ennemis ont été considérés comme des traitres, et assassinés, souvent par leur propre peuple ou alors par quelque tyran local pour qui cette dite « paix » contrecarrait leurs plans de conquêtes et de génocides. Au contraire, tous les prêcheurs de haine et fauteurs de guerre comme le Mufti Husseini, Nasser, Arafat, Saddam Hussein, le führer barbu de Téhéran et son chien Nasrallah, Abbas, le Hamas ou encore le grotesque Erdogan et bien d’autres encore, passés et à venir, déclenchent l’hystérie dans le monde musulman, et encore une fois, les « Palestiniens », éternels cocus consentants de ces illuminés fanatiques, s’engouffrent derrière celui qui clame la fin prochaine de « l’entité sioniste ».
Qu’importe l’issue des combats, de toute façon celui qui s’ose à attaquer Israël, même si son aventurisme ne laisse jamais derrière lui autre chose qu’un monceau de ruines et des milliers de cadavres devient le héros absolu. Toutes les défaites Arabes sont fêtées comme autant de victoires, s’en serait à hurler de rire si ce n’était si tragique, de voir comment leur propagande arrive à faire admettre à leur propre population défaite, meurtrie, que in fine c’est une « grande victoire » contre l’Ennemi.
Et pourquoi ça ? Tout simplement parce qu’il y a toujours un cessez-le-feu imposé par l’ONU, ce « machin » inutile et partisan, qui leur a permis de « sauver la face » avant l’anéantissement. Encore une fois, le scénario bien rôdé est en marche. Regrettable ! A quand la fin de cette institution malfaisante et terriblement coûteuse autant qu’inefficace ?
La même mauvaise pièce de théâtre se produit sous nos yeux. Le Hamas (et maintenant le Hezb), malgré ce qu’en disent nos brillants analystes et autres « experts » ou « spécialistes » du PO à longueur de chroniques, sont en cours de voir leurs missiles laminés, certes, difficilement et lentement, mais sûrement. Leurs infrastructures militaires réduites en cendres, tunnels, bunkers, dépôts d’armes, rampes de lancements, combattants irrémédiablement voués à l’élimination. Leurs chefs, comme tous ceux de leur engeance, les lâches, se terrent au fond d’un trou à rat entourés de femmes et d’enfants otages ; ils ne peuvent plus mettre le bout de leur nez dehors sans risquer de se prendre illico un missile sur le keffieh. Belle victoire !
Mais par-delà leur capacité de nuire par leurs fusées aveugles, armes terroristes par excellence, leurs « glorieuses » armées sont en train de se faire mettre en pièce par Tsahal, méthodiquement, chaque jour, chaque heure. Qu’importe, le moment venu, ils continueront à crier victoire sur les ruines de « leur » pays. Que leur importent des milliers de tués uniquement pour épancher leur soif de mort et offrir au démon qu’ils prient son tribut en chair humaine. Grands hommes, au demeurant, capable de résister du fond de leur trou jusqu’au dernier « Palestinien » ou Libanais. Et ces crétins de les encenser et de louer leur nom au lieu de les juger et les pendre comme de vulgaires criminels. Si, par pure hypothèse, un dirigeant palestinien ou arabe voulait réellement faire la paix, son espérance de vie ne dépasserait pas 24 heures. C’est ça, des gens épris de paix ?
Non, il faut le dire clairement et tout haut : Les Arabes et maintenant les islamistes non-arabes (turcs, iraniens, …) ne veulent pas la paix. Qu’on ne nous prenne pas pour des c… S’ils la voulaient, il y a belle lurette que cette région serait un havre de prospérité. Non, ils l’ont montré depuis 70 ans en trouvant comme prétexte Israël, ils le montrent tous les jours en dansant sur les toits dès que des Juifs meurent, dès qu’un émule de Ben Laden provoque un nouveau carnage. Ils le montrent en devenant hystériques dès que le moindre dictateur démagogue leur promet la fin de « l’Entité ». Non, ils n’ont jamais voulu la paix, ne serait-ce qu’une seule seconde. En revanche, dès qu’ils sentent que leurs « glorieuses » armées sont en train de se faire mettre en déroute, ils viennent jouer les pauvres victimes d’une « agression barbare » qu’ils ont eux-mêmes déclenché et voulue. Vite, vite ! Donnez-leur un cessez-le-feu, qu’ils puissent crier « victoire » contre l’ennemi sur le cadavre encore fumant de Gaza et du Liban !
La Bête immonde est de retour, il nous faudra hélas encore une fois se résoudre à l’anéantir. C’est ce qui fut fait en 39-45, c’est ce que nous devrons faire, sinon, après les Juifs d’Israël, se sera le tour de l’Europe. Et tant pis pour les « Palestiniens », ou autres hystériques fanatisés de la même engeance. Après tout, personne ne les oblige se réjouir quand coule le sang Juif. S’ils dansent sur les toits, s’ils hurlent leur admiration pour n’importe quel tyran, du moment qu’il proclame sa volonté d’en finir avec les « Sionistes », s’ils prient pour que les missiles tombent sur Tel Aviv, alors qu’ils en payent le prix et en assument les conséquences, comme les Allemands ont dû payer très cher le prix de leur adulation pour Hitler et les Japonais, celui de leur fanatisme pour leur Empereur. Ce n’est pas un cessez-le-feu qu’il faut, mais obtenir par la force une capitulation sans condition, une véritable défaite, humiliante, sans ambiguïté pour que peut-être et enfin, un nouveau monde Arabo-musulman puisse émerger du cadavre de l’actuel comme une nouvelle Allemagne et un nouveau Japon débarrassés de leurs fantasmes mortifères ont fleuri sur les ruines de leurs illusions et de leur aveuglement. Le virus mortel de l’islamisme doit être éradiqué, même au prix de la destruction du corps duquel il s’est emparé, pour éviter la contagion. C’est une question de vie ou de mort pour les Juifs, mais aussi pour nos valeurs, pour ce que nous aimons, pour notre civilisation, notre pays, pour l’avenir de nos enfants. Certes, notre civilisation est loin d’être parfaite, mais au moins est-elle plus vivable que la barbarie préhistorique que l’islamisme fait régner partout où il a pu gangréner les esprits.
© Eric S.
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