Une marche d’unité nationale qui ne sert à rien puisque les personnes concernées n’étaient pas présentes: ni les anti sionistes de “La France Insoumise” ni les habitants musulmans des banlieues qui ont une vision diabolisée de l’État d’Israël, ni le Chef de l’État.
L’antisémitisme a toujours pris comme prétexte le comportement des juifs et aujourd’hui c’est le comportement “génocidaire” de l’état juif qui justifie de nouvelles persécutions qui s’en prennent à tous les juifs.
Comme autrefois les juifs étaient rendus responsables des pharisiens déicides, de la peste et de l’empoisonnement des puits, de la famille Rothschild et des agissements des bolcheviks…
Emmanuel Macron a refusé de participer à cette marche contre l’antisémitisme par peur des réactions de la majorité des musulmans de France, entérinant ainsi la division du pays et la sécession de fait d’une partie de ses habitants.
En tête du cortège, visiblement satisfaits de l’image qu’ils donnaient d’eux-même d’une unité factice, tous les responsables de la politique désastreuse menée depuis quarante qui aboutit au désastre national actuel entonnaient une Marseillaise dérisoire. “Nous ne laisserons rien passer “, a affirmé Madame Borne, premier ministre. Quand on sait ce qui “passe” aujourd’hui en matière de police et de justice. Et d’immigration de masse.
Malgré ce réconfort illusoire, les juifs dans leur for intérieur savent bien qu’ils seront sacrifiés de toutes façons sur l’autel de la préservation d’une paix civile provisoire. Le chef de l’état a donné le ton et sonné l’hallali de la communauté juive française.
© Charles Rojzman
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