fbpx

jeu' 05 Déc' 2024

Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Les abus sexuels ont doublé, l’absence de domicile fixe atteint 70% pour les jeunes à l’ère du Coronavirus

La pauvreté, le chômage et l’insécurité alimentaire vont de paire avec l’anxiété et la peur ambiante. Tout cela a influencé l’augmentation de la violence et des abus. Un participant à ELEM déclare : « les gens comme nous peuvent mourir en restant à la maison ».

Un rapport compilé par Elem

Un nouveau rapport montre que les abus sexuels des jeunes israéliens a doublé entre juin et août comparé à l’année dernière. Le rapport a été compilé par Elem, Jeunesse en détresse, une association non gouvernementale israélienne qui travaille avec les jeunes à risque.

D’après nos confrères d’Ynet, le rapport montre aussi qu’il y a 70% de jeunes sans domiciles fixes cette année comparé à l’année dernière.

Le rapport montre l’impact massif de la pandémie de coronavirus et des confinements sur une population vulnérable.

Violence sexuelles, sans abris, dépression et anxiété

En plus du pic de violence sexuelles et d’absence de domicile fixe, le rapport montre qu’il y a trois fois plus de cas de dépression et d’anxiété parmis les jeunes, deux fois plus de cas de violences domestiques, deux fois plus de cas d’utilisation de drogue, deux fois plus de cas de solitude, deux fois plus de cas de troubles alimentaires et une fois et demi plus de cas d’automutilation que pour la même période l’année dernière.

Le rapport a montré une augmentation de 85% des jeunes impliqués dans des crimes ou des accrochages avec la police comparé aux années précédentes.

Un jeune sur 11 dont s’est occupé l’organisation a raporté que la pandémie avait sévérement impacté son foyer. Cet impact prend la forme de la faim et de l’augmentation de la pauvreté, du chômage, de la dépression ou de tentatives de suicide de l’un ou des deux parents.

Une hausse inquiétante des incidents par rapport à l’été dernier

« Il y a toujours une augmentation [des incidents rapportés] l’été » a déclaré la responsable du travail de rue Roy Homri. « Mais comparé aux information que nous avons pour la même période de l’année, nous voyons beaocoup plus d’événements extrêmes, et une dramatique augmentation de ces événements ».

Beaucoup de familles font face à la pauvreté, au chômage et à l’insécurité alimentaire à cause de la pandémie, et cela va de paire avec l’anxiété ambiante et la peur. D’après le rapport, tout cela a influencé l’augmentation des violences et des abus.

Les conséquences du coronavirus sur les populations à risque

« Mourir du Coronavirus est dangereux et effrayant, mais des gens comme nous peuvent mourir en restant à la maison » a déclaré une jeune femme liée à Elem.

« La maison est n’est pas un endroit sûr. Pour les jeunes hommes et femmes qui sont agressés sexuellement chez eux, leur chambre n’est pas un endroit sûr mais un lieu dangereux et effrayant » a-t-elle déclaré. Ils ne peuvent pas rester à la maison, ils ne peuvent pas être enfermés dans le lieu le plus traumatisant pour eux ».

Une autre jeune femme qui a été aidée par Elem se dit verbalement et mentalement abusée quotidiennement et « à cause de la situation, maintenant c’est beaucoup plus intense. Il n’y a nul part où fuir, et je veux juste sauter par la fenêtre pour en finir.

L’augmentation de la consommatopn de drogue chez les jeunes et un autre effet de la pandémie.

Un jeune homme qui est aidé par Elem a dit qu’il s’était tourné vers la drogue pour faire face au confinement. « Alors que j’avais l’habitude d’être libre et de me balader, soudainement on vous dit de ne plus sortir de chez vous. Vous devenez déprimé. Je cherchais quelque chose pour briser la routine, donc j’ai acheté de la drogue et j’ai commencé à fumer avec des amis. Je fumais tous les jours ».

Une perte d’espoir

Le rapport a souligné que ce second confinement est accompagné d’une perté d’espoir.

Les auteurs ont résumé les découvertes du rapport, disant que « la seconde vague du coronavirus va causer de nouveaux phénomènes inquiétants, nous nous attendons à ce qu’ils deviennent plus graves dans les mois à venir… Il semble que le coronavirus va rester et le prix du confinement est énorme ».

Le rapport a compilé 6 051 témoignages de jeunes, et est le second rapport de Elem publié pendant la pandémie de Coronavirus.

Rester connecter via nos groups:

Whatsapp / Telegram

ENVOYER UN MESSAGE

Le tourisme en israel

Mandat d’arrêt de la CPI. Noëlle Lenoir répond au fort hostile William Bourdon: « Je fais du droit »

Noëlle Lenoir, Avocate à la Cour, répond à William Bourdon, Avocat au Barreau de Paris, spécialisé en droit pénal des…

Mandat d’arrêt de la CPI. Noëlle Lenoir répond au fort hostile William Bourdon: « Je fais du droit »

Noëlle Lenoir, Avocate à la Cour, répond à William Bourdon, Avocat au Barreau de Paris, spécialisé en droit pénal des…

Mandat d’arrêt de la CPI. Noëlle Lenoir répond au fort hostile William Bourdon: « Je fais du droit »

Noëlle Lenoir, Avocate à la Cour, répond à William Bourdon, Avocat au Barreau de Paris, spécialisé en droit pénal des…

Mandat d’arrêt de la CPI. Noëlle Lenoir répond au fort hostile William Bourdon: « Je fais du droit »

Noëlle Lenoir, Avocate à la Cour, répond à William Bourdon, Avocat au Barreau de Paris, spécialisé en droit pénal des…

Mandat d’arrêt de la CPI. Noëlle Lenoir répond au fort hostile William Bourdon: « Je fais du droit »

Noëlle Lenoir, Avocate à la Cour, répond à William Bourdon, Avocat au Barreau de Paris, spécialisé en droit pénal des…

Mandat d’arrêt de la CPI. Noëlle Lenoir répond au fort hostile William Bourdon: « Je fais du droit »

Noëlle Lenoir, Avocate à la Cour, répond à William Bourdon, Avocat au Barreau de Paris, spécialisé en droit pénal des…

Mandat d’arrêt de la CPI. Noëlle Lenoir répond au fort hostile William Bourdon: « Je fais du droit »

Noëlle Lenoir, Avocate à la Cour, répond à William Bourdon, Avocat au Barreau de Paris, spécialisé en droit pénal des…